mardi 31 août 2010

Sécurité : "Faisons appliquer la loi et cessons de mettre tout le monde dans le même sac", selon François Bayrou

campagne libre et engagé

hum!hum!




Emplois fictifs : Delanoë assume l'accord avec l'UMP

L'horizon s'éclaircit pour . L'ex- doit comparaître en correctionnelle pour les chefs de «détournements de fonds publics» et «abus de confiance» pour 21 emplois de complaisance présumés payés entre 1992 et 1995, alors qu'il était maire de . Or, ainsi que l'a révélé Le Canard Enchainé, un protocole d'accord entre l'intéressé, l'UMP et la Ville de Paris prévoit que la facture des emplois fictifs sera remboursée aux trois quarts par le parti majoritaire et pour un quart par l'ancien président.

Une solution qui allègera les charges pesant sur ce dernier.

Cet accord a été confirmé depuis par la ville de Paris dont l'avocat, Me Jean-Pierre Mignard, assure dans l'édition de samedi de Libération qu'elle n'a fait là que «répondre à une demande». En clair : l'UMP et Chirac ont d'abord scellé cet arrangement entre eux avant d'en aviser la ville.

Interrogé samedi à La Rochelle, lors de l'université d'été du PS, Bertrand Delanoë a revendiqué «une attitude de vérité, reconnaissance des faits et réparation». «Je n'ai pas à me transformer en leader d'inquisition», a-t-il ajouté en allusion aux accusations d'Eva Joly (Europe Ecologie) qui qualifie ce protocole d'accord, dans Libération de samedi , de «faute politique».

«Rien d'une réunion mondaine»

«Ce protocole n'a pas été négocié, explique encore Me Mignard dans Libération, car il n'était pas négociable. (...) La seule négociation a porté sur les modalités de remboursement». L'avocat de la ville de Paris précise : «Nous n'avons pris aucune initiative. Nous avons répondu à une demande en vérifiant qu'elle pouvait être conforme aux intérêts patrimoniaux de la ville».

Me Jean Veil, avocat de Jacques Chirac, avait déjà indiqué jeudi que son client avait lui-même «souhaité que soit mis fin au litige civil et que la Ville de Paris soit remboursée purement et simplement des montants litigieux».

Contrant les critiques à propos du protocole d'accord, Me Mignard souligne dans Libération que «la ville de Paris a été d'une totale intransigeance. (...) Cette bataille juridique a été menée jusqu'au bout et la ville n'a jamais ménagé ses efforts. Cela n'avait rien d'une réunion mondaine». «Il n'y a aucune fraude. C'est même la pure application du droit», ajoute-t-il.

Selon l'accord, la Ville, qui ainsi renoncera à être partie civile au procès, récupérera au total 2,2 millions d'euros, dont 1,65 million versé par l'UMP et 550.000 euros par l'ancien président de la République.

mercredi 27 janvier 2010

C EST POUR DES MECS COMME CA QUE JE SUIS DANS CE PARTI

Regarder la vidéo jusqu'au bout ça dure dix minutes. Et ça c'est de la politique comme je l'entend passionnée et impliquée

vendredi 11 décembre 2009